"nous sommes donc passés à toute petite allure devant l’entrée du chemin. j’ai eu le temps de voir la terre retournée par les pneus des tracteurs, les petites flaques dans les ornières. les pieds chaussés de gros godillots plantés dans la boue, les mains dans les poches, debout sous la pluie, le regard tourné vers la route, le garçon était là"
in le premier été * anne percin * la brune
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